Les taxis sont omniprésents en Turquie, il est pratiquement impossible d’en manquer ! Taxi à Istanbul: Que vous soyez en plein cœur d’Istanbul ou dans la région la plus reculée du pays, vous trouverez toujours un taxi à disposition. On en compte environ 90 000 à travers la Turquie, dont 18 000 rien qu’à Istanbul. Leur tarif abordable en fait un mode de transport très prisé par les Turcs pour leurs déplacements quotidiens.
Les taxis à Istanbul sont facilement reconnaissables grâce à leur enseigne « TAKSI » et leur couleur jaune éclatante, impossible à manquer ! Après un trajet à 100 km/h dans les ruelles, il se pourrait même que vous preniez la même teinte ! Les tarifs sont réglementés et non négociables, chaque véhicule étant équipé d’un compteur. Toutefois, méfiez-vous des taxis bleus et des taxis « lüx », qui appliquent des tarifs plus élevés.
Prendre un taxi à Istanbul peut parfois être un défi, mais avec quelques conseils, cela peut se faire sans trop de difficultés. Les taxis sont nombreux à Istanbul, mais il peut être difficile de les trouver aux heures de pointe ou dans les zones touristiques très fréquentées. Il est souvent plus facile de trouver un taxi dans les rues un peu plus éloignées des sites touristiques.
Taxis à Istanbul
Vous pouvez également utiliser des applications de taxi comme BiTaksi ou Uber pour commander un taxi plus facilement. Les taxis à Istanbul utilisent un compteur, mais il est important de vérifier que le compteur est activé au début de la course pour éviter les mauvaises surprises. Les tarifs sont généralement raisonnables, mais peuvent augmenter la nuit ou en cas de forte circulation.
Il est conseillé de se renseigner sur les tarifs moyens pour un trajet donné afin de ne pas se faire arnaquer. Certains chauffeurs de taxi peuvent essayer de vous faire payer un prix plus élevé, surtout si vous êtes un touriste. N’hésitez pas à insister pour que le compteur soit utilisé ou à négocier le prix avant de monter dans le taxi. Préférez les taxis officiels, ils sont reconnaissables à leur couleur jaune et à leur logo. Évitez les taxis non officiels qui peuvent vous faire payer des prix exorbitants.
Il est préférable de payer en liquide car tous les taxis n’acceptent pas les cartes de crédit. Si vous ne connaissez pas bien la ville, avoir un plan peut vous aider à vous orienter et à indiquer votre destination au chauffeur. Apprendre quelques mots de turc : Quelques mots de turc comme « merhaba » (bonjour) ou « teşekkür ederim » (merci) peuvent faciliter la communication avec le chauffeur.
Transports en commun « alternatives au taxi à Istanbul »
Istanbul dispose d’un réseau de transport en commun très développé, comprenant le tramway, le métro, le bus et le ferry. C’est souvent une option plus économique et plus rapide que le taxi, surtout aux heures de pointe. Si votre destination n’est pas trop éloignée, la marche à pied peut être un excellent moyen de découvrir la ville et de profiter de l’ambiance locale. En suivant ces conseils, vous devriez pouvoir prendre un taxi à Istanbul sans trop de difficultés et profiter de votre séjour en toute sérénité.
Les taxis à Istanbul sont un moyen de transport courant et pratique, mais il est important de connaître certaines informations pour éviter les mauvaises surprises.
Les nouveaux tarifs pour les taxis jaunes à Istanbul sont les suivants :
- Tarif par kilomètre : Augmentation de 40% de 20 TL à 28 TL.
- Prise en charge : Augmentation de 35% de 100 TL à 135 TL.
Ces augmentations sont en vigueur depuis fin 2024. Lorsque vous montez dans un taxi, assurez-vous que le compteur est allumé et que le tarif appliqué est conforme aux nouvelles réglementations. Si vous rencontrez un problème ou avez des doutes sur le compteur, n’hésitez pas à en parler au chauffeur et, si nécessaire, prenez un autre taxi.
Voici d’autres points importants à prendre en compte lors de l’utilisation de taxis à Istanbul :
- Privilégiez les stations de taxis pour prendre un taxi.
- Demandez au chauffeur de vous indiquer l’itinéraire.
- Vérifiez le montant affiché sur le compteur avant de payer.
- Demandez un reçu au chauffeur si nécessaire.
- Si vous rencontrez un problème, signalez-le à la station de taxis ou aux autorités compétentes.
Conseils :
- Prévoyez du temps supplémentaire en raison du trafic, surtout aux heures de pointe.
- Utilisez une application de taxi (comme BiTaksi) pour plus de facilité et une idée du prix.
- Réservez votre taxi à l’avance pour l’aéroport.
- Demandez conseil à votre hôtel ou aux locaux
- Péage : à la charge du client si les ponts du Bosphore sont franchis
- Si vous prenez le taxis de l’aéroport de Sabiha (autoroute + Pont à payer), de l’aéroport d’Istanbul (autoroute payer).
- Très peu nombreux sont les chauffeurs de taxis Istanbul qui parlent l’anglais! La bonne humeur fait oublier la difficulté de communication ne vous inquiétez pas !
Prendre un taxi à Istanbul
Prendre le taxi en Turquie est une vrai discipline acrobatique, qui devrait être répertorié pour les jeux olympiques; ça ne fait pas 30 secondes que je suis sur le trottoir, que déjà une voiture jaune poussin me klaxonne m’ayant aperçu de loin, à croire que les chauffeurs de taxi ont la vue des faucons; Je lui fais signe que je veux monter et la, j’ai eu la sensation net d’avoir enclenché le bouton zoom comme sur un appareil photo, je n’ai même pas eu le temps de dire ouf que la voiture est venu coller son pare-chocs immatriculé 34 à 5 centimètres de mes pieds, les pneus grinçants dégageant une odeur de caoutchouc – taxis Istanbul.
Par réflexe, j’ai fermé les yeux criant un bon coup, ayant eu une telle peur bleue qu’il m’écrabouille. Décidément je ne m’y ferait pas à tous ces cascadeurs amateurs ! Je monte dans le taxi à côté du chauffard fou et lui dit qu’il a vraiment le compas dans l’œil. Il se tourne vers moi furieux, me disant que si je veux lui mettre un compas dans l’œil qu’il va falloir être un vrai homme. Tout doux, je suis étrangère, c’est une expression lui dis je. Trop con, me répondit-il qui aimerai avoir un compas dans l’œil ? Vous avez raison monsieur, personne. En se foutant légèrement de moi, il enclenche la vitesse et me demande ou je vais.
Restant collé au siège, la ceinture inexistante, j’ai une main accrochée sur le côté du fauteuil et l’autre sur la poignée de la portière, espérant de tout cœur arriver entière. je lui demande de m’emmener à Taksim.
Taxi Istanbul
ça y est, je suis en garde à vu, les projecteurs sont sur moi, « nous avons les moyens de vous faire parler » l’interrogatoire peut commencer: D’où venez vous me dit-il, je suis française; « fromage » essayes t- il de dire en français avec un accent qui me fait sourire ne pouvant pas prononcer les R. Apparemment cet homme très susceptible n’a pas beaucoup apprécié ma réaction, faisant mine de rien continu la conversation. Tu es marié, as-tu des enfants, du travail… Il fallait me le dire que je venais pour un entretient d’embauche, je vous aurai ramenée mon CV – taxis Istanbul.
Lui rétorquais-je, amusé. Apparemment n’ayant pas le même sens de l’humour que moi, un peu vexé, il cesse de m’interroger et met la radio pour détendre l’atmosphère. Comme si c’était fait exprès, une chanson française en est sorti. Je chante spontanément de mon côté et comme par miracle, les esprits se sont adoucis. Ayant certainement aimé le rythme de la chanson, il me demande ce que cela signifie? Je lui dit que le chanteur parle de sa jeunesse perdue.
SEV à Istanbul
Cela fit comme un électrochoc à ce monsieur, il commence à se confier, me parlant avec beaucoup d’amour et de nostalgie de sa jeunesse, dans son village en famille avec ses frères et sœurs. Je l’écoute attendri, avec attention, tout en me balançant d’avant en arrière suivant les accoues de sa conduite, qui me donne un mal de cœur épouvantable et me fait dire que j’ai enfin trouvé la solution à mon amincissement. Prendre le taxi trois par jour, matin, midi et soir après chaque repas, me fera perdre du poids, c’est certain! Deux étrangers dans la ville, voila ce qui nous a rapproché.
Une rencontre à chaque fois furtif, mais toujours intéressante. Pouvoir découvrir les parcours, les vies tellement différentes de chacun de ces chauffeurs de taxi, qui ce sont confié à moi; qui ont eu confiance le temps d’un trajet, me bouleverse. La course terminé, celui qui de prima à bord était bougon, nerveux et peu courtois, me sert la main en me remerciant pour cette agréable voyage en ma compagnie.
Je descend du véhicule toute barbouillée, un peu pâlotte lui souhaitant la bonne journée le sourire aux lèvres, je lui règle ce que je lui dois, puis claque la porte de la voiture, les pieds une fois sur la terre ferme, m’empresse d’aller dégobiller, ma diète a commencé !
Séverine . F
